Plus soiffard que moi tu meurs
Sur la boisson faisons main basse
Il fallait que je m’hydratasse
Tous les milieux intérieurs
Ce tantôt j’ai mis des fleurs
Infuser là dedans ma tasse
Hélas j’ai vu leurs couleurs
A la fin devenir fadasses
De l’eau chaude a chu malheur
En éclaboussant mes godasses
Les infusions c’est assez vain
Nous allons nous mettre au bon vin.
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27 novembre 2009
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1 commentaire:
Tiens tiens un poète assoiffé
Coquin prend une plante inadaptée
Pour faire des tisanes au goût vain
Et ainsi se rabattre sur le bon vin.
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