(dédiée à Melchior, suite à son invocation chez Laflote)
Dieu des athées
Toi dispo-
Nible en po-
Chettes déshydratées
Solubles dans l’Au-
Delà ci par-en-bas ou peut-être là-haut
Divinité
Humbles grâces Te soient rendues
Par mon vieux serviteur qu’un chaton entêté
Aussi bien que griffu met en chair à pâté
Et dis-nous s’il Te plaît quand seras reviendue
Et quand serons admis à voir l’éternité
Hélicicultrice et dodue.
.
29 novembre 2007
27 novembre 2007
Le Miracle des Loups
(histoire médiévale et critique de cinéma: deux en un)
Louis Onze c’est Jean-Louis Barrault
Là il joue aux échecs avec le Téméraire
Très grand seigneur au verbe haut
Considérable feudataire
Pour l’incarner Roger Hanin a fait l’affaire
Entre nous il ressemble fort à Navarro
L’inénarrable commissaire
Las c’est pour s’en débarrasser la croix
Et la bannière
Attention lui dit le roi
Je vous ai tendu un piège
Les plans royaux sont perturbés par les bourgeois
De Liège
Mais survient Jean Marais dans le rô-
Le du héros
Fort épris de la belle
Isabelle
Alias Rosanna Schiaffino
Dans ce film ancien déjà de Hunebelle
La promise est fidèle et s’enfuit dans la neige
Poursuivie par les loups si menaçants les loups
Qui tout soudain s’assoient et se font doux
Et c’est là miracle annoncé par le titre
Le cri de Jean Marais bientôt a retenti
Il lance à son rival Vous en avez menti
Charles résiste encore un temps et récalcitre
Mais ses soudards sont déconfits
Leur sang de cinéma ayant coulé par litres
Les amoureux sont saufs et réunis
C’est la fin du pestacle mes amis.
.
Louis Onze c’est Jean-Louis Barrault
Là il joue aux échecs avec le Téméraire
Très grand seigneur au verbe haut
Considérable feudataire
Pour l’incarner Roger Hanin a fait l’affaire
Entre nous il ressemble fort à Navarro
L’inénarrable commissaire
Las c’est pour s’en débarrasser la croix
Et la bannière
Attention lui dit le roi
Je vous ai tendu un piège
Les plans royaux sont perturbés par les bourgeois
De Liège
Mais survient Jean Marais dans le rô-
Le du héros
Fort épris de la belle
Isabelle
Alias Rosanna Schiaffino
Dans ce film ancien déjà de Hunebelle
La promise est fidèle et s’enfuit dans la neige
Poursuivie par les loups si menaçants les loups
Qui tout soudain s’assoient et se font doux
Et c’est là miracle annoncé par le titre
Le cri de Jean Marais bientôt a retenti
Il lance à son rival Vous en avez menti
Charles résiste encore un temps et récalcitre
Mais ses soudards sont déconfits
Leur sang de cinéma ayant coulé par litres
Les amoureux sont saufs et réunis
C’est la fin du pestacle mes amis.
.
25 novembre 2007
Les antiquités et leur martyre
Mes dévoués domestiques
Un couple de gens pourtant
Dans l’ensemble accommodants
Comme on savait si bien l’être dans l’ancien temps
Ont tout l’air de trouver quelque peu despotique
La jeune épousée qui sévit céans
Et contre les caprices
De la belle aux vibrisses
Voilà-t-il pas qu’ils s’en vont maugréant
Griffolet dit qu’elle est sa muse
Mais cependant que lui s’amuse
Pauvre minet
À taquiner
La conjecture improprement nommée « de Syracuse »
Oubliant presque son dîner
Fichtre je t’en ficherai de la conjecture
ça vole les confitures
ça trouble les écritures
ça perturbe la couture
Et ça provoque en tripotant les fleurs en pot
D'intempestives boutures
Si l’on la réprimande elle le prend de haut
Et ça miaule et ça court et ça grimpe aux rideaux
Ça griffe les tapisseries
Ça mord dans les pâtisseries
Et pour exhaler son contentement
Même alors son ronronnement
Oui son ronronne-
Ment immen-
Sément impressionne
Loin de pouvoir s’esbaudir
Voilà tout ce qu’ils récoltent
ce qui les mène à brandir
L’étendard de la révolte
Et puis par-dessus tout la Griffollette impose
A mes serviteurs le jeu du cirque romain
Les chrétiens jetés aux lions ah c’est quelque chose
On y jouerait jusqu’à demain
Mais ce qui est cause
De leur rebellion
Et par-dessus tout les indispose
C’est qu’elle est toujours dans la peau du lion.
.
Un couple de gens pourtant
Dans l’ensemble accommodants
Comme on savait si bien l’être dans l’ancien temps
Ont tout l’air de trouver quelque peu despotique
La jeune épousée qui sévit céans
Et contre les caprices
De la belle aux vibrisses
Voilà-t-il pas qu’ils s’en vont maugréant
Griffolet dit qu’elle est sa muse
Mais cependant que lui s’amuse
Pauvre minet
À taquiner
La conjecture improprement nommée « de Syracuse »
Oubliant presque son dîner
Fichtre je t’en ficherai de la conjecture
ça vole les confitures
ça trouble les écritures
ça perturbe la couture
Et ça provoque en tripotant les fleurs en pot
D'intempestives boutures
Si l’on la réprimande elle le prend de haut
Et ça miaule et ça court et ça grimpe aux rideaux
Ça griffe les tapisseries
Ça mord dans les pâtisseries
Et pour exhaler son contentement
Même alors son ronronnement
Oui son ronronne-
Ment immen-
Sément impressionne
Loin de pouvoir s’esbaudir
Voilà tout ce qu’ils récoltent
ce qui les mène à brandir
L’étendard de la révolte
Et puis par-dessus tout la Griffollette impose
A mes serviteurs le jeu du cirque romain
Les chrétiens jetés aux lions ah c’est quelque chose
On y jouerait jusqu’à demain
Mais ce qui est cause
De leur rebellion
Et par-dessus tout les indispose
C’est qu’elle est toujours dans la peau du lion.
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24 novembre 2007
Calculs sur la conjecture de Melchior
(avec l’aimable autorisation de Melchior, et de Titou, le chat de Tirui)
J’écris « z » pour « 421 421 421... »
J’écris *(..) pour « on retombe sur du connu, se rebrancher plus haut à (..) »
Si tu entres Alors tu obtiens
1 .......... z
2 .......... 1 z
3 .......... 10 5 16 8 z
4 .......... 2 1 z
5 .......... 16 * (3)
6 .......... 3 * (3)
7 .......... 22 11 34 17 52 26 13 40 20 10 * (3)
8 .......... z
9 .......... 28 14 7 *(7)
10 ......... 5 *(5)
11 ......... 34 * (7)
12 ......... 6 3 * (3)
13 ......... 40 *(7)
14 ......... 7 * (7)
15 ......... 46 23 70 35 106 53 160 80 40 * (7)
16 ......... 8 z
17 ......... 52 * (7)
18 ......... 9 28 *(9)
19 ......... 58 29 88 44 22 *(7)
20 ......... 10 *(3)
………………………………………....................................................
31 ......... 94 47 142 71 214 107 322 161 484 242 121 364 182 91 74 137 412 206 103 310 155 466 233 ça semble bien parti !
32 ......... 16 8 z.
J’en suis là, attendant que l’on m’approvisionne en gâteau au chocolat tout en corrigeant mes erreurs et bévues.
NB. Les premières sorties d’entrées impaires à partir de 3 forment une suite de raison 6.
On peut faire de belle boucles pour remplacer les *, dessinant ainsi une pelote de laine (Titou, je pense à toi).
Je suppose que sans aller jusqu’à 1024 comme Melchior (qui d’ailleurs n’y est sûrement pas allé…),
on doit arriver assez vite à saturation, dans tous les sens du mot.
Si quelqu’un veut se pencher sur 666, nombre de la Beste de l’Apocalypse, cela devrait lui rappeler 31 ci-dessus.
Les résultats les plus remarquables arrivent juste avant les puissances de deux, soit pour :
(2 puissance n) moins 1. C’est dans ces endroits-là que je chercherais.
On voit que les choses sont plus compliquées qu’il ne semblait au départ. C’est toute la sournoiserie de Tirui, il nous dit:
« Venez, les enfants, nous allons jouer gentiment avec les entiers positifs, c’est gentil, ça mange dans la main, tiens Cahuette, voilà 77 qui vient te dire bonjour, n’aie pas peur, donne lui une miette de ton gâteau. »
Et puis on se retrouve avec des… des choses, des machins, des sortes de polynômes, des gremlins (voilà le mot que je cherchais).
Laissez-faire, laissez passer ! (CLC -comité pour la libération des chatières-, canal historique).
J’écris « z » pour « 421 421 421... »
J’écris *(..) pour « on retombe sur du connu, se rebrancher plus haut à (..) »
Si tu entres Alors tu obtiens
1 .......... z
2 .......... 1 z
3 .......... 10 5 16 8 z
4 .......... 2 1 z
5 .......... 16 * (3)
6 .......... 3 * (3)
7 .......... 22 11 34 17 52 26 13 40 20 10 * (3)
8 .......... z
9 .......... 28 14 7 *(7)
10 ......... 5 *(5)
11 ......... 34 * (7)
12 ......... 6 3 * (3)
13 ......... 40 *(7)
14 ......... 7 * (7)
15 ......... 46 23 70 35 106 53 160 80 40 * (7)
16 ......... 8 z
17 ......... 52 * (7)
18 ......... 9 28 *(9)
19 ......... 58 29 88 44 22 *(7)
20 ......... 10 *(3)
………………………………………....................................................
31 ......... 94 47 142 71 214 107 322 161 484 242 121 364 182 91 74 137 412 206 103 310 155 466 233 ça semble bien parti !
32 ......... 16 8 z.
J’en suis là, attendant que l’on m’approvisionne en gâteau au chocolat tout en corrigeant mes erreurs et bévues.
NB. Les premières sorties d’entrées impaires à partir de 3 forment une suite de raison 6.
On peut faire de belle boucles pour remplacer les *, dessinant ainsi une pelote de laine (Titou, je pense à toi).
Je suppose que sans aller jusqu’à 1024 comme Melchior (qui d’ailleurs n’y est sûrement pas allé…),
on doit arriver assez vite à saturation, dans tous les sens du mot.
Si quelqu’un veut se pencher sur 666, nombre de la Beste de l’Apocalypse, cela devrait lui rappeler 31 ci-dessus.
Les résultats les plus remarquables arrivent juste avant les puissances de deux, soit pour :
(2 puissance n) moins 1. C’est dans ces endroits-là que je chercherais.
On voit que les choses sont plus compliquées qu’il ne semblait au départ. C’est toute la sournoiserie de Tirui, il nous dit:
« Venez, les enfants, nous allons jouer gentiment avec les entiers positifs, c’est gentil, ça mange dans la main, tiens Cahuette, voilà 77 qui vient te dire bonjour, n’aie pas peur, donne lui une miette de ton gâteau. »
Et puis on se retrouve avec des… des choses, des machins, des sortes de polynômes, des gremlins (voilà le mot que je cherchais).
Laissez-faire, laissez passer ! (CLC -comité pour la libération des chatières-, canal historique).
22 novembre 2007
Récit d’Histoire médiévale
(attention au rythme, neuf pieds)
Le malheureux roi Jehan le Bon
N’avait plus du tout le cœur à rire
Alors qu’il mâchonnait son jambon
A la table de cet autre sire
Son cousin l’Anglois qui l’avait su
Défaire en si terrible bataille
Près de Poitiers il était déçu
On l’eût frappé d’estoc et de taille
Et à coup sûr par là même occis
Sans son fils Philippe le Hardi
Qui se tenant à ses côtés dit
En tirant sur sa cotte de mailles
Ah sire mon père gardez-vous
A droite à gauche et un peu partout
Ou nous vous ferons des funérailles
Charles mon frère en serait content
Pour sa rançon l’on créa le franc
Sacrédié disoient les paysans
Là pour sûr j’en avions pour longtemps
Parce que c’est le commencement
De la foutue Guerre de Cent Ans
Qui tantôt nous mettra sur la paille.
Le malheureux roi Jehan le Bon
N’avait plus du tout le cœur à rire
Alors qu’il mâchonnait son jambon
A la table de cet autre sire
Son cousin l’Anglois qui l’avait su
Défaire en si terrible bataille
Près de Poitiers il était déçu
On l’eût frappé d’estoc et de taille
Et à coup sûr par là même occis
Sans son fils Philippe le Hardi
Qui se tenant à ses côtés dit
En tirant sur sa cotte de mailles
Ah sire mon père gardez-vous
A droite à gauche et un peu partout
Ou nous vous ferons des funérailles
Charles mon frère en serait content
Pour sa rançon l’on créa le franc
Sacrédié disoient les paysans
Là pour sûr j’en avions pour longtemps
Parce que c’est le commencement
De la foutue Guerre de Cent Ans
Qui tantôt nous mettra sur la paille.
20 novembre 2007
A la manière d'Alphonse Allais
dédié à Bellzouzou, voir chez elle
(Court poème médiéval sur Jeanne d'Arc s'adressant à
Charles VII fraîchement sacré à Reims -"oint"-, pour lui dire de faire ses pompes et abdos, toussa toussa, tout en lui rappelant l'imminence d'un événement important, mais lequel ? secret d'Etat)
Gym, oint roi !
Et c'est déjà J-3.
(Court poème médiéval sur Jeanne d'Arc s'adressant à
Charles VII fraîchement sacré à Reims -"oint"-, pour lui dire de faire ses pompes et abdos, toussa toussa, tout en lui rappelant l'imminence d'un événement important, mais lequel ? secret d'Etat)
Gym, oint roi !
Et c'est déjà J-3.
15 novembre 2007
Le rire et le roi.
(à Laflote, célèbre blogueuse)
Le bon roi Saint-Louis
Détestait le rire(*)
Il en disait mal et pire
Le défendait
Et n’en aurait
Jamais voulu dans son palais pour un empire
Et répétait
Assis sous son chêne
Au bois de Vincennes
A qui voulait
Se l’entendre dire
-Les rieurs seront occis
Puis en enfer iront frire
Si par malheur pour eux je les ouïs
-Oui
Sire
Mais il aura perdu aussi cette croisade
Laflote de nos jours orchestre la poilade(**)
Le bon roi qui déjà est mort
A ce qu’on dit fort
Malade
Si jamais il s’en revenait
Par notre époque en promenade
Notre rire lui laisserait
Et cœur et foie en marmelade.
(*)véridique, voir les mémoires du temps, et Froissart et Commynes et Joinville, toussa toussa.
(**) véridique, voir son blog.
.
Le bon roi Saint-Louis
Détestait le rire(*)
Il en disait mal et pire
Le défendait
Et n’en aurait
Jamais voulu dans son palais pour un empire
Et répétait
Assis sous son chêne
Au bois de Vincennes
A qui voulait
Se l’entendre dire
-Les rieurs seront occis
Puis en enfer iront frire
Si par malheur pour eux je les ouïs
-Oui
Sire
Mais il aura perdu aussi cette croisade
Laflote de nos jours orchestre la poilade(**)
Le bon roi qui déjà est mort
A ce qu’on dit fort
Malade
Si jamais il s’en revenait
Par notre époque en promenade
Notre rire lui laisserait
Et cœur et foie en marmelade.
(*)véridique, voir les mémoires du temps, et Froissart et Commynes et Joinville, toussa toussa.
(**) véridique, voir son blog.
.
12 novembre 2007
Critique de film.
L’autre soir j’ai vu « Les vacances
De Monsieur Hulot » et j’en ai
Fort apprécié quelques séquences
Ce n’est pas si souvent que je vais au ciné
D’abord sur le quai de la gare
Parmi les locos à vapeur
Une annonce inaudible est faite au haut-parleur
Désoriente les voyageurs
Et bien entendu(*) les égare (*)façon de parler…
Et puis bientôt voilà la mer
On croirait un film de Rohmer
L’inénarrable coup
De service au tennis
Ça amuse beaucoup
La miss
Un peu plus tard au cimetière
Une chambre à air est prise pour
Une cour-
Onne mortuaire
Hulot à lui tout seul occupe le terrain
Le canot replié semble un monstre marin
Le ping pong à l’hôtel se mène à train d’enfer
Là j’ai pensé à toi ô jeune Brisefer
Puis le fier hidalgo que Hulot fait tricher
A l’insu de son plein gré
Est giflé par une donzelle
Quand à la fin il se rebelle
Mais le comique
Cinématographique
Possède aussi sa dimension
Philosophique
Et stimule la réflexion
Lors la guimauve obstinée qui glisse et reglisse
Et que l’on remonte au dernier moment vois-tu
Ne sont-ce pas nos vies qui versent dans le vice
Et sont sauvées in extremis par la vertu
Et le feu d’artifice impromptu
Ne serait-ce pas la fantaisie créatrice
Qui se met enfin au service
De nos désirs trop longtemps tus
Ah c’était rigolo
Ah j’en ai mal au ventre
Merci monsieur Hulot
Mais il est tard je rentre
Ah c’était rigolo
J’en ai mal aux
Entrailles
M’a-t-il fait rire Hulot
A présent faut qu’j’y aille.
.
De Monsieur Hulot » et j’en ai
Fort apprécié quelques séquences
Ce n’est pas si souvent que je vais au ciné
D’abord sur le quai de la gare
Parmi les locos à vapeur
Une annonce inaudible est faite au haut-parleur
Désoriente les voyageurs
Et bien entendu(*) les égare (*)façon de parler…
Et puis bientôt voilà la mer
On croirait un film de Rohmer
L’inénarrable coup
De service au tennis
Ça amuse beaucoup
La miss
Un peu plus tard au cimetière
Une chambre à air est prise pour
Une cour-
Onne mortuaire
Hulot à lui tout seul occupe le terrain
Le canot replié semble un monstre marin
Le ping pong à l’hôtel se mène à train d’enfer
Là j’ai pensé à toi ô jeune Brisefer
Puis le fier hidalgo que Hulot fait tricher
A l’insu de son plein gré
Est giflé par une donzelle
Quand à la fin il se rebelle
Mais le comique
Cinématographique
Possède aussi sa dimension
Philosophique
Et stimule la réflexion
Lors la guimauve obstinée qui glisse et reglisse
Et que l’on remonte au dernier moment vois-tu
Ne sont-ce pas nos vies qui versent dans le vice
Et sont sauvées in extremis par la vertu
Et le feu d’artifice impromptu
Ne serait-ce pas la fantaisie créatrice
Qui se met enfin au service
De nos désirs trop longtemps tus
Ah c’était rigolo
Ah j’en ai mal au ventre
Merci monsieur Hulot
Mais il est tard je rentre
Ah c’était rigolo
J’en ai mal aux
Entrailles
M’a-t-il fait rire Hulot
A présent faut qu’j’y aille.
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10 novembre 2007
Précision généalogique
(en légende de la photo précédente)
Cette aimable houri, Griffollette, est l'enfant
De la Beste Féroce et d'un chat de couvent.
.
Cette aimable houri, Griffollette, est l'enfant
De la Beste Féroce et d'un chat de couvent.
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08 novembre 2007
07 novembre 2007
Epigramme
(dédié à l'auteur -c'est Marc- du 120ème comm' chez Bellzouzou -"Avis à la populace")
Sarko Raïs fossoyeur de nos espérances
Exige pour salaire un monceau de sequins
Dit-on c'est beau c'est grand c'est généreux la France
Non c'est laid c'est petit c'est cupide et mesquin.
Sarko Raïs fossoyeur de nos espérances
Exige pour salaire un monceau de sequins
Dit-on c'est beau c'est grand c'est généreux la France
Non c'est laid c'est petit c'est cupide et mesquin.
03 novembre 2007
A la campagne
Sur un bout de toile étrange
Un ivrogne au soleil dort
Une vieille attend dehors
Près du cochon dans sa fange
Dans le carré potager
Une indicible pécore
Chasse avec l’air d’enrager
Une poule qui picore
On entend un veau meugler
L’idiot qui lit sur les lèvres
En passant auprès des chèvres
Fait le geste d’étrangler
L’homme court après la fille
Qu’il eut jadis de sa sœur
Il la trousse sans douceur
Ça se fait dans la famille
Un vieillard ratatiné
Menace en levant sa pelle
Auprès d’un puits sans margelle
Deux louchons la morve au nez
Et je vous passe les mouches
Les chiens qui sont là jappant
Qu’on fait taire en les frappant
Enfin les regards farouches
Les gens d’ici voyez-vous
N’aiment pas qu’on les visite
Mais pour gagner quelques sous
Ils font traverser le site
Détestant qu’on les dérange
Toujours ils se sont méfiés
Sur la porte de la grange
Un chat noir est crucifié.
Un ivrogne au soleil dort
Une vieille attend dehors
Près du cochon dans sa fange
Dans le carré potager
Une indicible pécore
Chasse avec l’air d’enrager
Une poule qui picore
On entend un veau meugler
L’idiot qui lit sur les lèvres
En passant auprès des chèvres
Fait le geste d’étrangler
L’homme court après la fille
Qu’il eut jadis de sa sœur
Il la trousse sans douceur
Ça se fait dans la famille
Un vieillard ratatiné
Menace en levant sa pelle
Auprès d’un puits sans margelle
Deux louchons la morve au nez
Et je vous passe les mouches
Les chiens qui sont là jappant
Qu’on fait taire en les frappant
Enfin les regards farouches
Les gens d’ici voyez-vous
N’aiment pas qu’on les visite
Mais pour gagner quelques sous
Ils font traverser le site
Détestant qu’on les dérange
Toujours ils se sont méfiés
Sur la porte de la grange
Un chat noir est crucifié.
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