(dédié aux parents de Sanseverina Lelièvre-Laflote, en les priant de faire attention, quand ils adopteront un chat, à ne pas le traumatiser par une appellation trop fantaisiste)
Les aîeux Bellzouzou donnèrent
A leur pauvre enfant un prénom d'opéra.
Ce n'est pas évident s'appeler Aïda !
La belle un peu plus tard se vengea sur le chat(*)
L'affublant d'un prénom de truie, mille tonnerres.
Et pour faire bonne mesure,
A sa propre fille elle assigna, c'est malin,
Un prénom tiré du théâtre de Shakespure(**).
C'est ainsi qu'on entend, dans son humble masure:
"Allons, Ladymacbeth, va te laver les mains..."
(*) C'est moi-même, Messieurs, sans nulle vanité (Molière, Le Misanthrope)
(**) Licence poétique.
12 décembre 2006
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
7 commentaires:
je constate que ce sont les parents Bellzouzou qui sont à l'origine de la chaîne traumatique généalogique, n'empêche.
@ Bzz
A l'origine, non. Si Aieule Bzz éprouvait le besoin de chanter "l'oiseau saura" etc., sans doute faut-il remonter un peu plus haut dans l'arbre. Mais comme je disais l'aut'jour chez Laflote, je ne grimpe plus guère aux arbres.
j'exige des éclaicissements ;-)
Je ne grimpe plus aux arbres parce que j'ai passé l'âge: je ne suis pas une écervelée qui se cache dans un conifère.
bien raison, comme c'est terrible d'être un ours avec un nom de porc-épic!
bravo de nous donner la possibilité de commenter sous "autre".
Bon, je ne suis pas bien certaine de capter l'histoire de la Sanseverina Lelièvre-Laflote avec la smala Bellzouz' au milieu... Tssss, parfois c'est pô simple de te suivre Aglaé.
Pis de toute façon, risque pas que j'ai un jour un chat parce que le Lièvre il y est tout allergique ;-]
@ Laflote: le pauvre homme! si c'est pas pitié tout de même ;-)
@ Aglaé: tu as très bien compris ce que je voulais dire, n'essaie pas de noyer le poisson ;-)
Enregistrer un commentaire