Quand Laflote a mouru
D'un mal irrémédiable
Quand Laflote a mouru
L'enfer n'en a pas voulu
J'ai assez dz soucis
Dit Satan à ses diables
J'ai assez de soucis
Non je n'en veux pas ici
Idem au purgatoir
Le malaise est palpable
Idem au purgatoir
Refusée bon sang d'bonsoir
Alors elle a fini
Aussi finit ma fable
Alors elle a fini
Bien tranquille au paradis
A perpète entendra
La harpe délectable
A perpète entendra
Allongée entre ses draps.
30 octobre 2006
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
4 commentaires:
d'autant que le Paradis, c'est vraiment l'Enfer, crois-en ma vieille expérience (Aglaé en sait quelque chose).
viii! pour ne rien te cacher, j'ai même trouvé qu'elle avait pris du bide, hier.
@ Bellzouzou:
c'est même pas vrai, c'est rien que des menteries; je dirai à Minouchette de te griffer le mollet jusssqu'au sssang !
@ Laflote:
pour quelques détails familiaux, voir mon épître à Dodinette du 15 octobre.
Enregistrer un commentaire