En dosages variés habitent nos humeurs
Et la progestérone et la folliculine
C'est leur dévers dans nos circulations sanguines
Qui dicte la réponse à nos solliciteurs
Et nous réagissons par diverses faveurs
Au flux de leurs pissats qui flattent nos narines
Telle reste de marbre et telle Messaline
Joue à plus folle de son corps que moi tu meurs
Chez les z'êtres z'humains la chose est plus complexe
Et fait interférer d'autres considérants
Qu'on ne peut résumer à de simples réflexes
Prestige du pouvoir qu'en dira-t-on argent
L'amour-propre aussi compte et le désir d'enfant
Et tout cela concourt à me laisser perplexe.
14 octobre 2006
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4 commentaires:
dois-je me sentir visée ou deviendrais-je parano?
@ bellzouzou: Je ne sais pas si tu dois te sentir visée par les deux tercets, mais Minouchette l'est par avance par les deux quatrains.
@ moukmouk: toutes sortes de bonnes choses qu'on trouve aussi, je pense, dans le chocolat...
peut-on déduire quoi que ce soit de ta réponse à bellzouzou ?
genre [attention, je me surpasse] :
La Minouchette, va falloir la surveiller...
Mais l'autruche donc, nous préparerait-elle un nouveau bébé ?
Je n'ose le croire, m'étant imaginé
Qu'en matière de descendance la belle avait décidé
Qu'aux absents elle serait désormais abonnée...
(réponse facultative, je sais, c'est faible, et pis ça entre un peu beaucoup dans une sphère qui ne me concerne pas)
Mazette,
Dodinette,
quelle poète
(facultatif)pouët pouët.
(oui, il est tard et je ferais mieux d'aller me coucher, je sais).
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