Je nous ferons végétarienne
(Peut-être les z'ouéziaux z'aussi ?)
Car j'avions peur de la Géhenne
Et préférions le Paradis.
Puis, quand j'aurons cessé d'affoler le matou
(Dans quelques années je présume),
Dans l'aimable séjour de Pépé Bellzouzou
J'irons z'éplucher les légumes.
18 juillet 2006
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2 commentaires:
je suis sûre qu'il se réjouira d'une présence aussi féminine que féline...
tu n'as pas les vers aussi distingués que d'habitude, Aglaé: ce matou est vulgaire et une mauvaise fréquentation pour toi, j'm'en vas l'dire tout à l'heure à ton pépère.
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