Naviguer sur les eaux c'est la belle aventure
A voler dans les airs nous ne rechignons pas
Pour marcher dans les champs nous nous mettons au pas
Une deux une deux et foulons la verdure
Mais le gavage hélas vient forcer la nature
Cet affreux procédé nous donne le foie gras
Au bout de ce supplice on nous mène au trépas
Même aux yeux de certaines gens la chose est dure
Au risque du cholestérol et de l'intox
L'homme prend son plaisir à nous bouffer le foie
Nous qui chez les Romains sûmes sonner le tocs-
In levons lors bien haut l'étendard caca d'oie
Et vendons chèrement nos entrailles et toc ç'
Aura pour nous été la dernière joie.
20 janvier 2007
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2 commentaires:
depuis que j'ai lu émerveillé
que chaque couple de ces ansérinés
est une Juliette et un Roméo
Un Tristan et une Yseult
Une Guenièvre et un Lancelot
Que l'un se meurt à petit feu
inconsolable et désespéré
Quand l'autre finit en paté
De ces admirables oies
Je ne peux plus manger le foie
C’est vrai que les oies peuvent mourir d’amour. Mais ce n’est que rarement l’amour de l’autre sexe. Les oies se promènent par trois, deux femelles un male, deux male une femelle, l’autre sexe malheureux et traînant derrière. C’est vrai que c’est un peu con de gaver des oies. Si on leur donne du maïs, elles se gavent toutes seules, et le foie est meilleur.
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