Tant d'amours fracassées
De belles délaissées
Quant à ce volage amant
Si prompt à prêter serment
Restant dans son élément
Bien évidemment il ment
Du jardin des délices
Au jardin des supplices
On ne cesse de passer
N'en jetez plus c'est assez
Grandes orgues
Tristes morgues
Mais finissez vous régalant
Votre part de tarte aux myrtilles
Cependant le sang titille
Je vous en préviens Bertille
Les corps caverneux de votre galant
Qui reste là embarrassé d'un cerf-volant.
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