23 juillet 2013
Sonnet du curé.
Monsieur le curé fort las
S’affale sur ses deux fesses
C’est l’abus du vin de messe
Qui le met en cet état
Sur quelque point délicat
Il ne sait plus quoi ni qu’est-ce
La tendron vient à confesse
Il en fait le plus grand cas
Doux Jésus le cas est grave
Il faut servir au curé
Mieux qu’un jus de betteraves
Un petit noir bien serré
Sur le mur mal récuré
On lit jouissez sans entraves.
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