Malheureux lapin
Privé de viscères
Pauvre Villepin
Livré aux ulcères
Recevez mes vœux bien sincères
Ça mange en tous cas pas de pain
Chacun pendu à son croc
De boucher la chose est dure
Non pas pour le lapin qui ne souffre plus trop
Mais pour l’homme po- oui pour l’homme po-
Litique qui encore endure
De l’incertaineté des cho-
Ses la torture
Condamné l’an prochain peut-être par raccroc.
.
09 février 2010
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
1 commentaire:
Permettez mon beau chat
Poète plein d'éclat
Que je plaigne le lapin
Un peu plus que Villepin
Enregistrer un commentaire