(poème farceur)
Ah les rognons de dromadaire
Au madère
Ah plaisir inégalé
Je me suis bien régalé
L’être humain pour ce qu’il mange
N’est ni
Ange
Nenni
Ni bête non plus Qui veut faire
L’ange a sa place en le bestiaire
Ma foi c’est pas trop mal
Dis-je en me tapotant l’organe stomacal
Et je me sens à l’aise
Pour paraphraser Blaise
Pascal.
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10 février 2010
09 février 2010
Actualité.
Malheureux lapin
Privé de viscères
Pauvre Villepin
Livré aux ulcères
Recevez mes vœux bien sincères
Ça mange en tous cas pas de pain
Chacun pendu à son croc
De boucher la chose est dure
Non pas pour le lapin qui ne souffre plus trop
Mais pour l’homme po- oui pour l’homme po-
Litique qui encore endure
De l’incertaineté des cho-
Ses la torture
Condamné l’an prochain peut-être par raccroc.
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Privé de viscères
Pauvre Villepin
Livré aux ulcères
Recevez mes vœux bien sincères
Ça mange en tous cas pas de pain
Chacun pendu à son croc
De boucher la chose est dure
Non pas pour le lapin qui ne souffre plus trop
Mais pour l’homme po- oui pour l’homme po-
Litique qui encore endure
De l’incertaineté des cho-
Ses la torture
Condamné l’an prochain peut-être par raccroc.
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06 février 2010
Epitre à Emile
(exercice de style)
C’est comme pour toucher une chaude patate
Que nonchalante la chatte
Galante avance une patte
Non non non et non
Nom d’une guenon
Dès le début reprenons
D’humeur nonchalante
La chatte galante
Ah déjà quel est son nom
Ah que sa démarche est lente
Elle se rend aux clameurs
De ses mille admirateurs
Car mille
Émile
Matous mateurs
L’ont dans le collimateur
Ces mille félins renifleurs
Venus lui offrir quelques fleurs
Et dont l’espérance exaspérante
Émile est miaulante.
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