Tout cela n'est que fiction
Due à l'imagination
D'une détestable muse
Son œuvre perverse abuse
Les lecteurs abasourdis
Par de tels salmigondis
Mais j'en ai déjà trop dit
Je risque non moins que ma place au paradis
Je ne mets plus la main aux rimes féminines
Elles sont possédées du démon ces coquines
Dans l'au-delà serai-je en de beaux draps
Ma foi il adviendra ce qu'il en adviendra.
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