Quand nous poussons le loquet
Juste après le tourniquet
Et posons notre paquet
Fait-il pas un poil frisquet
Le chat croque ses croquettes
Une poule ayant fraîchement pondu caquète
Le coq pour sa part a déjà chanté
Mettant fin tout net à la sarabande
Des forces de la nuit dans le manoir hanté
Et ces pestes
Manifestes
Ont toutes disparu sans demander leurs restes
Si fasse le Ciel que ça nous soit évité
Nous nous résignons à revenir à la prose
Lors nous écrirons un volumineux traité
Barbant à souhait malgré ma capacité
Connue à tenir en haleine les beautés
Qui fidèlement me lisent
Que vous en semble Anne-Lise
Poétard je dois te rabattre le caquet
Tes vers sont partis pour un destin étriqué.
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