Le
garde champêtre
Ouvre
sa fenêtre
Aperçoit
un quidam qui foule le terrain
Vêtu
d'un seul tissu qui lui couvre les reins
Il
vitupère sévère
Mais
le quidam persévère
Dans
un ample mouvement
Il
se promène il s'aère
Et
sur les sentiers non pas de la gloire mais
De
la grande prairie humide et verdoyante
Il
rencontre c'est bien établi désormais
D'accortes
nymphes à l'humeur entreprenante
Par
ici viens-t'en donc agréable passant
Laisse-nous
sur ta peau prodiguer la chatouille
Viens
avec nous jouer ô bel appétissant
Ne
t'en viendras-tu pas à la fin niquedouille
Le
défenseur zélé des règlements des lois
Suit
faisant les gros yeux derrière ses jumelles
Le
quidam qui n'est pas de bois
En
commerce avec les femelles
Qui
lui touchent la chose en se croisant les doigts
Illustrant
Aristote et “l'illusion du pois”
La
fin de cette histoire est restée inconnue
Je
vous le dis c'est la vérité toute nue.
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