Et lorsque l’âme de Narcisse
Aura quitté son joli corps
Elle viendra le voir encor
Et sa mandibule où se glissent
Des asticots sans son accord
Qui s’en repaîtront quel délice
Comme si c’était pain d’épice
N’entendez-vous sonner du cor
On devine dans le décor
Un avion avec son hélice
Qui largue la parachutisse
Elle atterrit en temps record
Pour la bien voir mon œil se plisse
Sa tresse sur son cou n’est qu’or.
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07 mars 2008
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