Près du couvent rural et forestier
Bêtes d'août* et moustiques et tiques * diérèse, Thérèse !
S'acharnent sur les bonnes sœurs mystiques
Quand elles vont dans l'herbe pour prier
Leur confesseur sympathique aumônier
Décoche un pied de nez ecclésiastique
À Satan dont l'ardeur paroxystique
Prenant ce pied le met à l'étrier
La vacuité de vacance où l'on vaque
Rend disponible à quelque coup tordu
Pour trouver la semence d'un pendu
Le but est de bientôt être d'attaque
À dire vrai cela s'avère ardu
Et je commence à me sentir patraque.
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