Chacun combat la canicule à sa manière
Le guépard avisé reste dans sa tanière
Prudemment le serpent rampe vers son abri
Tout en restant près de sa mère le cabri
Se dirige en cabriolant vers la rivière
Et songeons aux vieillards dont la décrépitude
Devrait bien susciter notre sollicitude
Qui assis à l'ombre au bord du fleuve léthé
Le chef branlant apprivoisant l'éternité
Penchent pour prendre le frais ainsi tout l'été.
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